Péniscola se dore au soleil de la vaste baie où nous logions, mais lors d'une escapade dans l'arrière pays, sur les collines, découverte fut faite d'un petit monastère dominant toute la plaine.
Une inscription gravée sur une pierre
blanche rappelle au voyageur
qu'en ces lieux , sous Franco,
des républicains se sont repliés,
impitoyablement massacrés
lorsqu'ils furent découverts.
J.P. et A., que je ne nommerai pas,
se sont pris un instant pour Papa Luna, le Pape Benedicte XIII, un temps exilé au château de Peniscola, oeuvre des Templiers.
On en reparlera...ou pas.
En bas les huertas , au loin la mer, et par dessus tout ça le ciel...
qui n'en finit pas.
Ils font des Papa Luna très convaincants!
RépondreSupprimerau retour du boulot, ça aère de voir ça.
RépondreSupprimeret en plus, avec des papes-stagiaires !
mes mille bises, clausia