L' AUTRE ? ... à la veille d'une nouvelle année

L’Autre :

 

Celui d’en face, ou d’à côté,

Qui parle une autre langue

Qui a une autre couleur,

Et même une autre odeur

Si on cherche bien …

L’Autre : 

Celui qui ne porte pas l’uniforme

Des bien-élevés,

Ni les idées

Des bien-pensants,

Qui n’a pas peur d’avouer

Qu’il a peur …

L’Autre : 

Celui à qui tu ne donnerais pas trois sous

Des-fois-qu’il-irait-les-boire,

Celui qui ne lit pas les mêmes bibles,

Qui n’apprend pas les mêmes refrains …

L’Autre : 

N’est pas nécessairement menteur, hypocrite, 

Vaniteux, égoïste, ambitieux, jaloux, lâche, 

Cynique, grossier, sale, cruel…

Puisque, pour Lui, l’AUTRE …

C’est Toi

Robert Gélis : "Poèmes à tu et à toi"

texte illustré par des tableaux de MIRO.

...et merci à Olivier.

 

Canapé de Mères Noël

... oui, trois générations de Mères Noël sur un même canapé, mais dans le désordre !

 

Qui arrive à l'horizon
 la hotte chargée de cadeaux?
Qui arrive à l'horizon
S'appuyant sur un bâton?
Entre, entre, père Noël,
Dans notre jolie maison,
Entre, entre, père Noël,
Te mettre à l'abri du gel;
Et dans nos petits sabots,
Si tu poses un beau cadeau,
Toujours nous te garderons
Bien au chaud dans la maison
Assis entre nous trois
Sur notre accueillant canapé !
Entre,
Papa Noël,
nous te chouchouterons...
Pour t'aimer
Nous ne serons pas trop de trois.

à mes amis du taïchi (animation)...et aux autres, bien sûr !

...alors JOYEUX NOËL à tous, sans oublier nos compagnons à quatre pattes.
Que quelques nonosses soient déposés pour eux au pied du sapin.
Et merci à Denis.  

Fondation Abbé Pierre : toujours en action

La Fondation Abbé Pierre dévoilait ce matin lors d'une conférence de presse le thème et les visuels de sa nouvelle campagne de sensibilisation au mal-logement.
 Cet hiver, ce sont l'errance et l'indifférence qu'elle a voulu dénoncer
12 000 panneaux et abribus afficheront pendant tout l'hiver  en métropole et sur l'île de la Réunion, l'une des trois photographies ici présentées:

 

 

le vent l'emportera ...

 

Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien
Le vent l'emportera
Ton message à la grande ourse
Et la trajectoire de la course
A l'instantané de velours
Même s'il ne sert à rien

[Refrain] :
Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera

La caresse et la mitraille
Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain

Le vent les portera

Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant lui

[Refrain]

Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destin
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?

Le vent l'emportera

Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi

 

 

RUGBY quand tu nous tiens !

 

Quand mon père Noël A., 28 ans, jouait au C.A. Périgourdain

au poste d'arrière.

Ici,en 1951 lors d'un match contre le Racing Club de France, poules de 8,

où l'arrière lança une fulgurante contre-attaque qui mena à l'essai.

J'avais 8 ans et j'étais dans les tribunes,

situation formidable lorsque le public acclamait les belles actions de votre père,

situation difficile quand le vent tournait et que le public s'énervait. J'ai le souvenir terrible d'une vieille excitée qui me donna de grands coups de parapluie sur la tête quand mon père loupa un drop.

La nuit, je me disais finalement ravie d'être une fille pour ne pas être obligée de jouer au rugby... jusqu'au jour où j'ai découvert que les filles, elles, devaient subir les souffrances de l'accouchement!

 

Quelques années plus tard, disons 62 ans après, Etienne, à Lescar, l'arrière-petit-fils de Noël, après son père , son grand-père et son arrière grand-père, continue la tradition: faire trembler dans les tribunes ses parents et sa petite amie.

J'attends une photo de lui en action sur le terrain,

 pour l'instant j'en ai une d'un tout autre type,

mais ça fera l'affaire !

 

 

colle : lequel est-ce ?

ElitheWood : MERRY CHRISTMAS (Rock) Jingle Bell

Un méri Krismeussss pour adultes... enfin !

Taïchi, garbure et bandas !

 

C'était au Téléthon, après la démo de 1H 30.

 

 

 

 

 

   

 

La bandas du village , après avoir animé l'inauguration du nouveau dojo ( nous en reparlerons ) est venue nous soutenir en musique. 

 

 

 

 

"Comme quoi la recherche de la zénitude n'exclut pas la franche rigolade"

= vieux proverbe chinois, 5ème siècle avant Lao Tseu.

 

 

 

 

 

 

 

Le TAÏCHI au TELETHON 2013 : version sérieuse et concentrée

 

Comme c'est devenu une tradition, les deux clubs de TAÏCHICHUAN de Lescar et Mazerolles se sont unis pour le téléthon et ont offert en démonstration une séance complète de 1heure 30 dans la salle du foyer rural de Mazerolles ... pendant que les autorités -et d'autres- mais ça on en reparlera... inauguraient un dojo flambant neuf !

    

 

       

"Lao Zi avait un maître de taïchi  qui hélas vivait ses dernières heures, mais sans angoisse. Alors il lui demanda de bien vouloir lui livrer son secret avant de partir.

Son maître lui demanda:

-Est-ce que j'ai encore des dents?

-Non , maître, vous n'avez plus de dents.

-Est-ce que j'ai une langue?

-Oui, maître, bien sûr, vous avez une langue !

-Alors, comprends que ce qui est souple subsiste et que ce qui est raide meurt." 

 

 

   

 

MANDELA ...

Avez-vous lu la question que je vous posais en commentaire dans la série de mes photos sut l'Afrique du Sud ?
je demandais: qu'Est-ce qui vous frappe ?
j'ai trouvé la réponse dans un dessin de presse sur le décès de Nelson Mandela

...dans les balais .

Allez, un ou deux dessins de plus

 

La nation ARC-EN CIEL ne sourit pas ce matin.

Quelques photos persos d'un périple de trois semaines en AFRIQUE DU SUD en Novembre 2007 avec 11 amis basques, dans un combi ... ( pas de marque ! ) qui a rendu l'âme l'avant-dernier jour en plein milieu du Parc Kruger.

 

la maison où a grandi Nelson Mandela à SOWETO

 

 

 

 Et le bar où on a vu un match en direct des SPRING BOOKS
"On" ? ... enfin deux d'entre nous, les autres ayant eu peur de sortir de l'hôtel, sur les conseils d'une belle  blonde croisée à l'hôtel et qui trouvait scandaleux que ses impôts aient pu servir à mettre l'eau et l'électricité  dans le bidonville, qui existe toujours, de Soweto.

 

 

Aujourd'hui, ils ont perdu leur sourire.