vendredi 4 juillet 2014

d'AVIGNON cet après-midi du 4 juillet , Olivier PY

Cet après-midi, question à Olivier PY tout nouveau directeur du Festival d'Avignon, mais aussi acteur et metteur en scène, révélé là-même il y a déjà 20 ans  : Pour vous, en tant qu’auteur, comédien, metteur en scène et directeur du Festival d’Avignon, est-ce que la grève peut être une autre forme de faire du théâtre ou de poursuivre le festival ?
 

 "Moi, personnellement, je ne le pense pas. En tant que directeur, je n’ai pas voulu cette grève, mais je la respecte, parce que la grève est un droit, comme d’ailleurs le droit de ne pas faire la grève. Donc je le regrette pour les spectateurs qui ont pris leur billet. Je pense qu’ils pourront voir Le Prince de Hombourg le 5 juillet dans la Cour d’honneur. Mais, je n’ai pas de tiraillements. Il y a une grande légitimité de la part des intermittents en France. Personnellement, je préfère d’autres moyens d’action que la suppression des spectacles"

3 commentaires:

  1. La grève pour un artiste, c'est un peu se tirer une balle dans le pied. Et si les écrivains se mettaient eux aussi en grève ?...

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    1. là est le dilemme en effet ! difficile de tout comprendre cher Jeanmi...

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  2. je me tords de rire à la remarque de jeanmi ! toujours pince sans rire dans ses commentaires.
    je pense quand-même aux spectateurs qui venaient de loin, de Biarritz par ex et à qui on va rembourser les billets, soit, ils doivent l'avoir amère même si ils partagent les revendications des intermittents
    bise, claudia

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