vendredi 29 novembre 2013
森の木琴.... Jésus que ma joie demeure !
Ah ! ah! ah!
joli titre n'est-ce pas ? ..... ???
" Jésus que ma joie demeure " joué sur un xylophone construit en pleine forêt japonaise !
Une boule en bois joue par gravitation, tombe de touche en touche
et chaque lamelle est taillée de façon à produire la bonne note dans sa bonne durée .
Tout ça pour quoi ?
pour une PUB !
Mamma mia !
mardi 26 novembre 2013
le dire en riant et en musique: non le FN n'est pas d'extrême droite
par l'équipe de SINE MENSUEL avec Sanseverino.
La tour Eiffel est en bois
BHL est un philosophe
Les banques sont nos amies
les chasseurs sont courageux
DSK est un poète
Les labos pensent à soigner
Les boursiers à partager....
Continuez la liste à votre guise...
dimanche 24 novembre 2013
Ils sont venus... et elles aussi
à 18H. presque pétantes, le groupe OCTOGRAPHE et ses accueillants Dominique et Claudie Durozier étaient fin prêts sur la scène du petit théâtre de La Charcuterie.
...mais un lourd suspens régnait et étreignait les gorges:
allaient-ILS venir ?
Les deux romans trônaient près d'un bouquet de roses
et le public fut au rendez-vous, avide de questions et très à l'écoute pendant nos lectures
Le jeu questions/réponses fonctionna à merveille
Quant à Dominique, il évoqua la troupe ambulante de ses ancêtres depuis six générations avec LA BARAQUE
et présenta un projet qui lui tient à cœur:
repartir dans les moindres villages pour partager une culture noblement populaire avec LA PETITE BARAQUE.
La séance de signature se poursuivit dans une bien sympathique bousculade
mais , dommage !
pas d'images du pot final
Léa avait posé son appareil pour déguster quiches, pizzas...
et partager avec nous le jus de pomme de l'amitié.
merci à tous ceux qui sont venus nous rencontrer
et qu'ils se rassurent le troisième roman est en route!
samedi 23 novembre 2013
Combien de personnes ce soir à La Charcuterie de Lescar ?
... réponse à partir de 18H. et bravo à ceux qui auront affronté les frimas et bravé la tempête ! Des rafraîchissements les récompenseront après la présentation du roman d'OCTOGRAPHE ( l'LLUSTRE BARAQUE), quelques lectures et dédicaces diverses...
heu ! heu !
rafraîchissements ? je ne sais pas si c'est le terme qui convient vraiment !
"Il tombe des cordes, un vrai déluge!
Je me demande où est Jean-Baptiste et s'il n'est pas encore sous la pluie en train de travailler sur la remorque ! Depuis qu'il s'est mis en tête de partir sur les routes avec notre troupe, comme le faisaient jadis son grand-père et son théâtre ambulant, on ne le voit pratiquement plus!
Notre troupe des Lutins ne lui suffit plus..."
Suite.. ? dans le roman !
heu ! heu !
rafraîchissements ? je ne sais pas si c'est le terme qui convient vraiment !
"Il tombe des cordes, un vrai déluge!
Je me demande où est Jean-Baptiste et s'il n'est pas encore sous la pluie en train de travailler sur la remorque ! Depuis qu'il s'est mis en tête de partir sur les routes avec notre troupe, comme le faisaient jadis son grand-père et son théâtre ambulant, on ne le voit pratiquement plus!
Notre troupe des Lutins ne lui suffit plus..."
Suite.. ? dans le roman !
vendredi 22 novembre 2013
Préface de Dominique Durozier pour le roman l'ILLUSTRE BARAQUE.
« Les baladins qui serpentent les routes
Qui sont-ils donc dans leurs costumes d’or ?
Des vagabonds ou des dieux en déroute ?
Ils n’ont que des chansons pour seul trésor ».
Chanson, théâtre, baladin, saltimbanque et j’en passe, beaucoup de mots
qui ont en commun une passion, une folie : la liberté.
Fils, petit-fils, arrière et arrière-petit-fils de saltimbanques, de
briseurs de chaînes sur les places publiques, d’acteurs nomades, j’ai grandi
dans le milieu des théâtres ambulants qui sillonnaient la France. Trois mois
par-ci, trois mois par-là, changeant d’école au même rythme, bravant le rejet
des communautés sédentaires en construisant des amitiés éphémères mais
sincères, ignorant la bêtise pour exister …quelle vie pleine
d’enseignements !
Cela a duré jusqu’au début des années soixante où la télévision et les
moyens de transport ont éloigné le public de ces lieux de culture et de
plaisirs
Mais lorsque le besoin d’aller vers les autres est pratiquement inscrit
dans les gènes, lorsque le théâtre semble la seule activité susceptible de nous
rendre heureux, on regroupe les jeunes du clan et on repart sur les routes, de
salles des fêtes en salles polyvalentes, de granges en théâtres à l’italienne,
de places publiques en cours d’écoles, proposant du Molière, du Brecht ou du
Pirandello, osant tout au nom du théâtre populaire, ne retenant que les jours
fastueux aux jours de galère… inconscients des réalités de la vie.
Alors aujourd’hui quand mon amie Danielle me propose la préface du roman
qu’elle écrit avec trois autres passionnés, tout ce passé remonte en moi comme
autant de folies.
La décentralisation théâtrale ne
s’est pas faite à coup de milliers de francs. La plupart du temps c’était avant
tout des passionnés fauchés, privés des aides des collectivités locales, qui
apportaient le théâtre dans les lieux les plus reculés de l’hexagone. De 1970 à
1990 environ, nous avons parcouru le sud-ouest avec
le désir de sortir les gens de
leurs maisons, de leurs écrans ; mais ce rêve fou prenait sans cesse des
coups : combien de salles vides, combien de spectateurs vacanciers
irrespectueux plus bruyants qu’une colonie de vacances. Mais il y avait aussi
ces rencontres merveilleuses, ce regard d’enfant qui découvrait le théâtre, ce spectacle
vivant.
Et il m’arrive parfois au cours d’une discussion qu’un adulte se
souvienne m’avoir vu sur la scène lorsqu’il était collégien ; tout cela me
fait oublier les galères et le mépris de certains bien- pensant dont
l’éternelle question était : « Mais vous avez un métier, vous ne
vivez pas de çà ? »
Non, nous ne vivions pas de « çà » mais nous ne vivions
que par et pour « çà ».
Les costumes d’or des baladins ne sont visibles que pour les yeux des
spectateurs émerveillés. Mais ils sont dans le cœur des saltimbanques.
Dominique
Durozier.
Pour illustrer le beau texte de Dominique,
je me suis permis de rajouter une photo de ses grands-parents sur scène,
et son projet de salle itinérante:
LA PETITE BARAQUE.
Puisse-t-elle trouver son souffle.
mercredi 20 novembre 2013
OCTOGRAPHE .... bientôt au théâte de LA CHARCUTERIE à LESCAR
Quatre personnes et donc bien huit mains
qui écrivent dans la douleur, ça se voit ...
auront le plaisir de vous recevoir dans ce petit bijou qu'est La Charcuterie,
pour vous présenter leur dernier roman:
L'ILLUSTRE BARAQUE.
Bien entendu, ce sont les maîtres du lieu, le clan DUROZIER,
qui mettent leur salle à notre disposition et nous devons les en remercier chaleureusement.
...les en remercier doublement ( voire triplement ou plus) puisqu'ils sont aussi en partie les inspirateurs de ce road-moovie théâtral sur les routes du Sud-Ouest.
Venez-donc nous retrouver le samedi 23 novembre,dès 18h., il y aura des lectures d'extraits, des réponses à vos questions même les plus indiscrètes, des dédicaces à gogo ( et personnalisée, S.V.P. ! ) puis un petit apéro dînatoire comme ils disent dans le Midi.
Alors....@+ ?
et sur notre blog OCTOGRAPHE,
olivier a noté:
" Entrée et sortie...libres "
ouf !
lundi 18 novembre 2013
On m'a changé mon dentier ...
... depuis, je zozote, c'est pas ma faute à moi .
Du coup je fais dans la PARONOMASE ... chouette !
Du coup je fais dans la PARONOMASE ... chouette !
Zazie
A sa visite au zoo
Zazie suçant son Zan
S'amusait d'un vers luisant
D'Isidore Isou
Quand zut ! Un vent blizzard
Fusant de son falzar
Voici zigzaguant dans les airs
Zazie et son Blazer
L'oiseau
Des îles est pris au zoom
Par un paparazzi
Zigouilleur visionnaire
De scherzi de Mozart
Drôle de zigoto
Zieuteur du genre blasé
Mateur de photos osées
Zazie
Sur les vents alizés
S'éclate dans l'azur
Aussi légère que bulle d'Alka Selzer
Elle visionne le zoo
Survolant chimpanzés
Gazelles lézards zébus buses et grizzlis d'Asie
L'oiseau
Des îles est pris au zoom
Par l'autre zèbre, bon zigue,
Zazie le fusillant d'un bisou
Lui fait voir son bazar
Son zip et son Zippo
Fendu de A jusqu'à Zo
A sa visite au zoo
Zazie suçant son Zan
S'amusait d'un vers luisant
D'Isidore Isou
Quand zut ! Un vent blizzard
Fusant de son falzar
Voici zigzaguant dans les airs
Zazie et son Blazer
L'oiseau
Des îles est pris au zoom
Par un paparazzi
Zigouilleur visionnaire
De scherzi de Mozart
Drôle de zigoto
Zieuteur du genre blasé
Mateur de photos osées
Zazie
Sur les vents alizés
S'éclate dans l'azur
Aussi légère que bulle d'Alka Selzer
Elle visionne le zoo
Survolant chimpanzés
Gazelles lézards zébus buses et grizzlis d'Asie
L'oiseau
Des îles est pris au zoom
Par l'autre zèbre, bon zigue,
Zazie le fusillant d'un bisou
Lui fait voir son bazar
Son zip et son Zippo
Fendu de A jusqu'à Zo
paroles de Serge Gainsbourg.
dimanche 17 novembre 2013
vendredi 15 novembre 2013
YANN MOIX : Une Marianne au visage plus humain, est-ce impossible ?
Lettre ouverte à Madame Christiane Taubira, Garde des sceaux
Yann Moix
Yann Moix, le prix Renaudot 2013, a adressé ce jeudi une lettre ouverte à la garde des Sceaux, Christiane Taubira, que La Règle du jeu est fière de publier.
Madame,
Je vous adresse cette courte lettre pour vous dire que la honte que je ressens d’être français quand vous êtes insultée dans votre dignité n’est rien, absolument rien, au regard de la fierté que je ressens face à la permanente démonstration de votre courage.
Il n’est pas question, ici, de politique. Mais seulement de reconnaître, en vous, tandis que pleuvent sur vous mille crachats et quantité d’immondices, une de ces figures qui font, contre vents et marées, progresser notre vieille République.
Il n’est pas question, ici, de politique. Mais seulement de reconnaître, en vous, tandis que pleuvent sur vous mille crachats et quantité d’immondices, une de ces figures qui font, contre vents et marées, progresser notre vieille République.
Je crois bien qu’en d’autres temps, Robert Badinter, ou Simone Veil encore, furent confrontés, de par l’ampleur de leur vision sociétale, de par la force de leurs convictions et la puissance de leur volonté, à la haine provisoire des réactionnaires et des moisis.
Vous aurez, non sans humour, permis plus d’avancées en quelques mois à la France, que d’autres pendant quelques décennies.
Votre personne, comme une sorte de caisse de résonnance, présente cette particularité, quasiment inédite, de dévoiler à elle seule, de stigmatiser sur elle seule, les nombreuses maladies dont notre pays est aujourd’hui atteint.
Puissiez-vous, madame, exister encore longtemps, et incarner cette Marianne au visage plus humain, moins éthéré, moins lisse aussi, que celle dont rêvent les nostalgiques d’une France éternelle qui, pour notre grand bonheur, n’eut jamais la moindre réalité et, ne leur en déplaise, n’existera jamais.
J’ai l’impression que, depuis quelques jours, c’est notre République qui devient bananière.
mercredi 13 novembre 2013
La banane et la REPUBLIQUE
"Lorsqu'une ministre est traitée de guenon et que l'on exhibe à son passage une peau de banane, l'injure raciste ainsi proférée prend une dimension toute particulière. A travers sa personne, ce sont les principes de notre république qui sont reniés et tous nos concitoyens, de "couleurs" ou non, qui se trouvent ainsi insultés. Ces comportements sont insupportables et inacceptables. Ils sont le reflet d'un racisme primaire, violent: un racisme qui nie l'existence même de l'autre, du fait de sa couleur de peau, de sa différence physique, un racisme trop longtemps institutionnalisé à travers l'esclavage et l'apartheid.
Cet acte va bien au delà du simple fait divers isolé. Cette transgression est la partie visible d'un processus qui a vu se rompre, une à une, les digues politiques et morales qui limitaient au huis-clos familiaux ou à quelques discussions de comptoir de tels agissements condamnables.
Comment peut-il en être autrement, lorsque la droite dite "décomplexée" revêt les oripeaux du Front national, donnant ainsi crédit à ses idées xénophobes et racistes?
Le racismes est un délit. Il doit être sévèrement puni.
Mais au-delà, la lutte contre le refus de l'autre, de ses différences, est une mission incontournable incombant aux éducateurs et aux républicains que nous sommes."
Christian Chevalier, novembre 2013.
Et hier, pour comble, la UNE de MINUTE !
mardi 12 novembre 2013
Connaissez-vous Marisa Castro?
Elle peint et écrit...
Et j'aime ce qu'elle fait,
alors
tout simplement
belle journée !
dimanche 10 novembre 2013
Le CORBUSIER au soleil marseillais
Hello ! depuis mes 15 ans au soleil des calanques et de la plus chère à mon cœur, celle de Niolon, j'ai une tendresse particulière pour ce bâtisseur-rêveur:
LE CORBUSIER.
LE CORBUSIER.
...parce que j'étais allée voir un ami de mon père qui habitait La Cité Radieuse à Marseille et que ce lieu m'avait enchantée, n'en déplaise à ses détracteurs, car j'y avais trouvé une idéologie, un humanisme, un idéal inculqués par mon éducation sans doute... bref un regard qui repensait l'habitat en y remettant l'humain, et les classes modestes surtout, au centre de ses préoccupations.
Et j'ai vraiment adoré alors cette bâtisse.
J'ai aimé cet espace libéré sous l'immeuble
ces couleurs
et surtout sur la terrasse, tout en haut, cette école et cette crèche pour faciliter la vie des habitants.
et l'épicerie au 3ème étage, et le salon de coiffure, les boutiques, les bureaux, etc...
Car sortie de la guerre, la France avait eu besoin de se reconstruire. À cette époque le manque de logements sociaux était un énorme problème auquel il avait fallu apporter rapidement une solution. C’est dans ce contexte que l’État français passa commande à Le Corbusier d’une unité d'habitation à Marseille où l'habitat insalubre et les bidonvilles à la périphérie s'étendaient dramatiquement. Il lui demanda alors de « montrer un nouvel art de bâtir qui transforme le mode d’habitat ». C'est donc cet architecte qui sut apporter une solution nouvelle à ce problème du logement et transforma l’habitat en
"un véritable service public " .
La Cité radieuse fut inaugurée en 1952, après cinq ans de travaux, malgré de nombreuses critiques politiques( celles-là, on s'en moque un peu) et architecturales ( souvent mesquines). Et j'ai aimé aussi l'intérieur de cet appartement lumineux, ultra-moderne et fonctionnel pour l'époque ...
Tout y était aménagé , avec déjà cette cuisine digne de "Mon Oncle" !
Quant à l'harmonie des proportions de chaque appartement, elle venait sans doute de ce respect du nombre d'or.
...et puis soudain, aux détours d'un couloir,
une œuvre d'art.
Et bien oui !
Le Corbusier considérait que l'Art, et surtout l'Art moderne, n'était pas que pour les snobs friqués , vlan !
Ainsi avait-il repensé les frontières du quotidien, remis l'homme au centre d'un espace neuf , d'un espace pensé pour les familles.
N'en déplaise aux détracteurs ( il y en a toujours ! ),
le soleil provençal
a particulièrement inspiré Le Corbusier.
Cette radieuse cité porte bien son nom
et elle peut se dresser fière dans le ciel marseillais.
Jusqu'au 22 décembre, une expo à Marseille
rappelle l'idéal poursuivi par Le Corbusier.
ET voici pour terminer la couche culturelle d'usage sur ce courant architectural appelé Le BRUTALISME :
« Le brutalisme essaye de prendre en compte une société de production de masse, et d'arracher une rugueuse poésie des forces confuses et puissantes qui sont à l'œuvre. Jusqu'à maintenant le brutalisme a été envisagé stylistiquement alors que son essence est éthique. » Au rationalisme abstrait et idéal de l'avant-guerre, les architectes préféraient un nouveau fonctionnalisme qui non seulement acceptait les situations réelles, mais encore jouait de leurs contradictions. Ils rêvaient un monde de flux et de transformations où ils auraient eu leur part."
Bon, merci de m'avoir lue ( si c'est le cas) et je compte vous présenter bientôt un lotissement à Pessac entièrement conçu par le Corbusier, quartier que j'avais visité avec mes élèves d'Histoire des Arts et où les habitants nous avaient accueillis chez eux trois belles journées.
vendredi 8 novembre 2013
mercredi 6 novembre 2013
à la découverte de Pol LEURS
Pol LEURS est un dessinateur
que l'on peut qualifier d'humoristique.
Il signe ses oeuvres ainsi: PoLeurs.
Luxembourgeois et autodidacte
plein d'invention, il nous aide à nous envoler vers des sphères
où l'humour côtoie la poésie
Après avoir gagné un premier concours
à Berlin en 1980
il a depuis obtenu une cinquantaine de prix internationaux
Et si je vous ai choisi surtout des dessins sur l'ART...
...il sait aborder d'autres thèmes
avec toujours autant de bonheur et de légèreté.
Comme ceux-ci :
et surtout cette envolée vers les rêves
...où Icare, n'en doutons pas, réussira enfin à frôler le soleil.
mardi 5 novembre 2013
lundi 4 novembre 2013
CINE quand tu nous tient : vente aux enchères le 15 novembre
EN IMAGES. Un siècle de photos de cinéma en vente à Drouot
BARDOT dans LA FEMME ET LE PANTIN
De BB à Steve McQueen en passant par Truffaud, Hitchcock ou Marilyn Monroe... Le 15 novembre prochain, la maison Kapandji Morhange met en vente à Drouot 250 tirages originaux restituant près d'un siècle d'histoire du cinéma.
Voici quelques uns des clichés qui seront mis à prix:
Voici quelques uns des clichés qui seront mis à prix:
NOSFERATU LE VAMPIRE
LES ENFANTS DU PARADIS
HUIT-ET-DEMI
LA RIVIERE SANS RETOUR
ALAIN DELON
STEEVE MAC QUEEN
Selon les clichés la mise à prix ira de 300euros à ...6.000euros pour Nosferatu.
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