Salut Monsieur DUROZIER et chapeau !Jamais, en quinze ans, je ne t'avais vu ainsi sur scène !
D'abord ce texte naviguant sans cesse entre le sourire, la colère, le cocasse, la contestation, le burlesque et l'émotion... une terrible émotion venant de tes tripes et prenant celles du public. Jamais vulgaire, jamais outré, toujours sur le fil, le fil ténu de la qualité. Ton jeu aussi, ta présence, ton charisme, ta conviction. Celle de toute une vie, ça se sentait et c'était émouvant. Ton punch aussi, tenir 1h30 à ton âge mon pauvre vieux! Hu hu hu ! Et puis la mise en scène carrée, minutieuse collant judicieusement aux propos, de Francis Gauguet . Une heure trente dans ton univers de bateleur... mais pas que. Un moment inoubliable...
Et j'ai même eu peur, je dois te l'avouer :" Il nous présente son testament?"
En tout cas, ce texte, il fallait que tu l'écrives, il fallait que tu le joues, maintenant sans doute.
Je t'embrasse, toi et ta tribu ( c'est important) pour tout ce que vous nous apportez et parce que persister à vivre de sa passion est un exemple à donner à ceux qui doutent, aux jeunes, mais à nous aussi qui tentons de ne pas vieillir trop bêtement.
PS : je t'aurais préféré à l'Académie Française à la place de FILKENKRAUT ( orth ? )
Danielle — heureuse.
quel bel hommage ! et comme je te connais bien et depuis longtemps, je sais que tu penses chaque mot. Tu as déjà dit beaucoup de bien de Dominique, de sa compagnie et de son petit théâtre. J'aimerais bien vivre à Lescar pour vivre ces moments avec vous. Mais si je ne bosse pas , au moins un soir, lors du festival, promis, je m'échappe ! tu me logeras ?
RépondreSupprimermes bises et donc à bien tôt j'espère, claudia
je n'y étais pas mais j'espère qu'il rejouera ce texte et je vais louer des places pour ma petite famille lors du festival qui approche. .;au moins deux soirs. c'est bien toujours en mai ?
RépondreSupprimerbises, franck