Dans mon rêve y’avait l'chant d'une vieille dame
qu'avait du en voir de triste bohème
un grand feu qui réchauffait nos âmes
une lueur d'espoir comme dans un poème
parti en cendres mon rêve a levé l'camp
nomadisant sur les routes du destin
les rêves ça n'dure jamais longtemps
petite houle poursuit son chemin
la caravane passe la caravane passe
la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter
et les chiens n'ont pas fini d'aboyer
dans mon rêve elle passait juste en bas d'chez moi
la route des épices parfumait la rue
elle venant d'ailleurs et partant par la bas
chaque tribu portant sa nouvelle
le ronron des balayeuses a eu raison de mes songes et mes rêves s’évanouissent dans l'impasse
derrière les murs des murmures la solitude nous ronge
les rues vident nourrissent nos angoisses
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter
et les chiens n'ont pas fini d'aboyer
Dans mon rêve y’avait des chameaux
qui portaient l'monde entier sur leur dos
on se pressait pour entrer sous les tentes
écouter ses histoires fascinantes
j'me suis cogné la tête contre une barrière douanière internée sur une terre inhospitalière
les gardes frontière ratissent la cote voila la manière d’accueillir
ses hôtes
la caravane passe et c'est pas celle du moine ou celle des vacances
la caravane passe partout
la caravane passe derrière les palissades sous le pont d'l'autre côté d'la rocaille
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter et les chiens n'ont pas fini d'aboyer
dans mon reve y'avait l'chant d'une vieille dame
qu'avait du en voir de triste bohème
un grand feu qui réchauffait nos âmes
une lueur d'espoir comme dans un poème
une lueur d'espoir
qu'avait du en voir de triste bohème
un grand feu qui réchauffait nos âmes
une lueur d'espoir comme dans un poème
parti en cendres mon rêve a levé l'camp
nomadisant sur les routes du destin
les rêves ça n'dure jamais longtemps
petite houle poursuit son chemin
la caravane passe la caravane passe
la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter
et les chiens n'ont pas fini d'aboyer
dans mon rêve elle passait juste en bas d'chez moi
la route des épices parfumait la rue
elle venant d'ailleurs et partant par la bas
chaque tribu portant sa nouvelle
le ronron des balayeuses a eu raison de mes songes et mes rêves s’évanouissent dans l'impasse
derrière les murs des murmures la solitude nous ronge
les rues vident nourrissent nos angoisses
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter
et les chiens n'ont pas fini d'aboyer
Dans mon rêve y’avait des chameaux
qui portaient l'monde entier sur leur dos
on se pressait pour entrer sous les tentes
écouter ses histoires fascinantes
j'me suis cogné la tête contre une barrière douanière internée sur une terre inhospitalière
les gardes frontière ratissent la cote voila la manière d’accueillir
ses hôtes
la caravane passe et c'est pas celle du moine ou celle des vacances
la caravane passe partout
la caravane passe derrière les palissades sous le pont d'l'autre côté d'la rocaille
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe passe la caravane passe
la caravane passe elle est pas prête de s’arrêter et les chiens n'ont pas fini d'aboyer
dans mon reve y'avait l'chant d'une vieille dame
qu'avait du en voir de triste bohème
un grand feu qui réchauffait nos âmes
une lueur d'espoir comme dans un poème
une lueur d'espoir
Puis, on écoute
encore une page superbe, avec ce beau poème, et la découverte de ces BABYLON CIRCUS que je ne connaissais pas
RépondreSupprimerbises
franck
petit papier superbe et chanson très sympa que je découvre aussi
RépondreSupprimerpour cela, merci ma Dany et mes mille bises
yop la! ça m'a mis le moral !