- Temps pourri, des trombes d'eau sur le Béarn, un vent terrible , et ce matin des coupures d'électricité en chaînes !
Je profite d'un moment où la Fée Electricité est revenue, et à l'occasion de ce week-end de Pâques, pour évoquer les OEUFS Fabergé . Oh pas tous ( vous en retrouverez sur la page FB Libres comme l'ART ) mais parler de celui créé en 2015, car oui la Maison Fabregé renaissait en 2007 : " L'OEUF de PERLE " !
139 perles fines, 3.300 diamants, 20 artisans pour le confectionner et plus de 18 mois de travail .
Estimation ? ... PLUS de 2 MILLIONS d'euros !
Je vous l'offre ... en photo .
😜
Vive Pâques !
samedi 31 mars 2018
Pâques ? .... les oeufs FABERGE
lundi 26 mars 2018
Les moments cultes de Van Damme
...
Il pleut ?
à l'ouest le ciel est d'un gris fer menaçant ?
... heureusement, on a Jean-Claude Van Damme pour rester " aware " et vivre " neutral ".
Il pleut ?
à l'ouest le ciel est d'un gris fer menaçant ?
... heureusement, on a Jean-Claude Van Damme pour rester " aware " et vivre " neutral ".
mercredi 21 mars 2018
dimanche 18 mars 2018
Bernard LAVILLIERS au Zénith de PAU, 17 mars 18
quelques photos de ce magnifique concert.
La voix, la musique, les textes, la présence, le charisme, l'enthousiasme ... tout était là , le public ne s'y est pas trompé.
L'artiste, l'homme n'a pas changé et ce fut pour notre plus grand plaisir.
La voix, la musique, les textes, la présence, le charisme, l'enthousiasme ... tout était là , le public ne s'y est pas trompé.
L'artiste, l'homme n'a pas changé et ce fut pour notre plus grand plaisir.
Bernard Lavilliers - L'espoir
...
Hier soir au Zénith de PAU j'ai assisté à un des plus concerts que j'ai pu voir ... celui de Monsieur Bernard LAVILLIERS ... chapeau et respect !
... et voici la dernière chanson de la soirée, après 3 rappels.
Oui, si l'espoir revenait ?
Hier soir au Zénith de PAU j'ai assisté à un des plus concerts que j'ai pu voir ... celui de Monsieur Bernard LAVILLIERS ... chapeau et respect !
... et voici la dernière chanson de la soirée, après 3 rappels.
Oui, si l'espoir revenait ?
vendredi 9 mars 2018
Drois des Femmes ? RUFFIN FAIT LE MÉNAGE À L'ASSEMBLÉE
- Hier c'était " La Journée des Droits de la Femme " ... hum !
à quoi sert-elle réellement ?
Bien sûr, on a évoqué celles qu'on admire : Simone Veil, Simone Weil aussi , Lucie Aubrac, Irène Joliot-Curie, Marie Curie aussi, Soeur Emmanuelle, Indira Gandhi, Angela Davis ou Rosa Parks... et même Virginia Woolf, Marguerire Yourcenar, Ella Fitzgerald, Hélène Boucher, Marilyn Monroe, Camille Claudel et puis... et puis .... et puis... tant d'autres, les célèbres, les reconnues. ...
Alors demain sera-t-il donc différent pour celles qu'on ne nomme pas , qu'on ne reconnaît pas ? ... les femmes " d'en bas" , les anonymes, les sans-noms, les qui récurent, qui aident, qui soignent, qui triment, les en-dessous du seuil de pauvreté , les , parfois aussi, dans la file des restos du coeur ?
... à l'Assemblée, RUFFIN y a pensé , il a fait le ménage.
Alors pensée aujourd'hui aussi pour ces femmes-là, mes amies, mes soeurs et mes filles de coeur ... mais pensée aussi demain et après-demain et après-après-demain encore et encore...
Et puis ça serait bien qu'on fasse plus qu'y " penser ".
L'Ensemble Amarcord - Hit The Road Jack
...plus habitués à chanter des madrigaux du Moyen-Age a capella, l'Ensemble Amarcord, ensemble vocal allemand créé en 1992, s'amuse ici à interpréter " Hit the road Jack "... pour vous .
dimanche 4 mars 2018
" Petit Eloge de la Nuit" au ZENITH de PAU
Encore une fois, par où commencer ?
l'essentiel bien sûr, à savoir que c'est une " pièce " - quoique ce terme soit déjà à revoir -
donc une " pièce" d' Ingrid Astier, jouée par Pierre Richard dans une mise-en-scène de Gérard Garutti ,
et que c'était joué dans la grande salle du Zénith.
"- Alors ? ça t'a plu comment ? " m'a demandé mon fils qui m'avait offert la place
- Ben, pas mal .
- Quoi! ça t'a beaucoup plus ? moyen ou pas du tout?
-Heu, disons moyen. "
Voilà, c'était lâché, pas à sauter au plafond, pas nul non plus... moyen.
Déjà se demander si une pièce de théâtre a vraiment sa place dans une salle aussi grande et si banale , se demander si une pièce de théâtre n'aime pas mieux se lover dans de petits endroits pleins de charme . Du coup, l'acteur qui heureusement bénéficiait du facteur sympathie, parlait dans un micro et la façon de porter la voix ne pouvait pas être la même , beaucoup moins théâtrale justement ...et le contact avec le public , si primordial , ne pouvait pas réellement s'établir. On l'aime bien Pierre Richard , on aime bien sa silhouette vive de Pierrot lunaire , mais , et pourtant je n'étais qu'au 4 ème rang , sa silhouette me semblait petite, je ne voyais pas les expressions de son visage ni ses grands yeux bleus candides... alors je m'imagine ceux qui étaient tout en haut !
Heureusement, la mise-en-scène inventive corrigeait quelques-uns de ces inconvénients à l'aide de grands panneaux où étaient projetées des images poétiques, comme par exemple une danseuse en mouvements, de beaux paysages, voire l'acteur lui-même marchant dans une lande ou sommeillant dans un lit posé sur l'eau, ou son beau visage et ses cheveux blancs battus par quelque vent fripon, le tout ponctué par de belles musiques.
Des lasers aussi distribuaient des milliers d'étoiles sur un fond bleu-marine car, on y vient, le thème était bien: LA NUIT.
Et voilà un autre HIC : je ne veux pas juger l'ouvrage d'Ingrid Astier qui a servi de base à ce montage puisque je ne l'ai pas lu.
Mais voilà, c'est" un montage de textes" sur le thème de la nuit, un truc que nous les profs de Lettres connaissons presque trop puisque les élèves doivent présenter au bac des œuvres complètes et des suites de texte autour d'un thème. Imaginez-vous donc que celui de la nuit, aussi poétique et richissime soit-il, est pour nous d'une grande banalité.
Voilà, c'est donc à un " montage scolaire" que j'ai assisté et je me suis amusée à en reconnaître les auteurs : Edgar Poe, Baudelaire, Maupassant, Desnos, Neruda, Miller, Michaux, Kundera...j'étais heureuse car non seulement j'en reconnaissais les auteurs mais j'en reconnaissais les titres: le Corbeau, A la faveur de la nuit, le Horla, Nuit tubéreuse etc...et j'étais fière car, comme à aucun moment les noms des textes prestigieux n'étaient évoqués, je m' y retrouvais ! ... euh, mes voisins beaucoup moins, assez perdus semble-t-il ... " c'est décousu" a dit l'un d'eux . Et j'en déduisais que les textes que je ne connaissais pas étaient d'Ingrid Astier. Je ne dirai rien de leur qualité, disons que les autres éclataient de beauté.
Me voilà , bien prétentieusement, entrain de rajouter qu'en cours nous nous attardions aussi, toujours sur ce thème, sur des textes de Victor Hugo, d'Appolinaire, d'Ana de Noailles et que... certains m'ont manqué.
Ce sympathique Pierre Richard a fait ce qu'il a pu mais laisser un seul comédien déclamer tous ces textes devenait un peu monotone. Je rêvais d'entendre à chaque fois des voix différentes, des interprétations variées . Là j'ai vu un bel acteur appliqué à qui on donnait la mention " Bien " parce que ce n'était pas si mal et qu'il était plein de bonne volonté... tiens, encore comme à l'école !
En conclusion, de tels spectacles ne peuvent que nous faire aimer nos petites troupes d'amateurs qui n'ont pas à rougir de la comparaison. Au cours de la représentation , je me suis même mise à rêver d'un acteur des Mutins ou d'une actrice de Vice-Versa disant tel ou tel texte .
Méchante la dame que je suis , je le sais et j'en ai de la peine. En fait, je n'aurais pas dû y aller avec mon costume de prof... " pour qui tu te prends ? " m'a dit un jour une amie qui n'est plus mon amie ... pour un prof, hélas sans doute, mais comment m'en débarrasser?
... Bref, je vous ai bien aimé, MONSIEUR Pierre Richard
et je compte me procurer le bouquin d'où a été tiré ce spectacle poétique car la critique en dit le plus grand bien.
l'essentiel bien sûr, à savoir que c'est une " pièce " - quoique ce terme soit déjà à revoir - donc une " pièce" d' Ingrid Astier, jouée par Pierre Richard dans une mise-en-scène de Gérard Garutti ,
et que c'était joué dans la grande salle du Zénith.
"- Alors ? ça t'a plu comment ? " m'a demandé mon fils qui m'avait offert la place
- Ben, pas mal .
- Quoi! ça t'a beaucoup plus ? moyen ou pas du tout?
-Heu, disons moyen. "
Voilà, c'était lâché, pas à sauter au plafond, pas nul non plus... moyen.
Déjà se demander si une pièce de théâtre a vraiment sa place dans une salle aussi grande et si banale , se demander si une pièce de théâtre n'aime pas mieux se lover dans de petits endroits pleins de charme . Du coup, l'acteur qui heureusement bénéficiait du facteur sympathie, parlait dans un micro et la façon de porter la voix ne pouvait pas être la même , beaucoup moins théâtrale justement ...et le contact avec le public , si primordial , ne pouvait pas réellement s'établir. On l'aime bien Pierre Richard , on aime bien sa silhouette vive de Pierrot lunaire , mais , et pourtant je n'étais qu'au 4 ème rang , sa silhouette me semblait petite, je ne voyais pas les expressions de son visage ni ses grands yeux bleus candides... alors je m'imagine ceux qui étaient tout en haut !
Heureusement, la mise-en-scène inventive corrigeait quelques-uns de ces inconvénients à l'aide de grands panneaux où étaient projetées des images poétiques, comme par exemple une danseuse en mouvements, de beaux paysages, voire l'acteur lui-même marchant dans une lande ou sommeillant dans un lit posé sur l'eau, ou son beau visage et ses cheveux blancs battus par quelque vent fripon, le tout ponctué par de belles musiques.
Et voilà un autre HIC : je ne veux pas juger l'ouvrage d'Ingrid Astier qui a servi de base à ce montage puisque je ne l'ai pas lu.
Mais voilà, c'est" un montage de textes" sur le thème de la nuit, un truc que nous les profs de Lettres connaissons presque trop puisque les élèves doivent présenter au bac des œuvres complètes et des suites de texte autour d'un thème. Imaginez-vous donc que celui de la nuit, aussi poétique et richissime soit-il, est pour nous d'une grande banalité.
Voilà, c'est donc à un " montage scolaire" que j'ai assisté et je me suis amusée à en reconnaître les auteurs : Edgar Poe, Baudelaire, Maupassant, Desnos, Neruda, Miller, Michaux, Kundera...j'étais heureuse car non seulement j'en reconnaissais les auteurs mais j'en reconnaissais les titres: le Corbeau, A la faveur de la nuit, le Horla, Nuit tubéreuse etc...et j'étais fière car, comme à aucun moment les noms des textes prestigieux n'étaient évoqués, je m' y retrouvais ! ... euh, mes voisins beaucoup moins, assez perdus semble-t-il ... " c'est décousu" a dit l'un d'eux . Et j'en déduisais que les textes que je ne connaissais pas étaient d'Ingrid Astier. Je ne dirai rien de leur qualité, disons que les autres éclataient de beauté.
Me voilà , bien prétentieusement, entrain de rajouter qu'en cours nous nous attardions aussi, toujours sur ce thème, sur des textes de Victor Hugo, d'Appolinaire, d'Ana de Noailles et que... certains m'ont manqué.
Ce sympathique Pierre Richard a fait ce qu'il a pu mais laisser un seul comédien déclamer tous ces textes devenait un peu monotone. Je rêvais d'entendre à chaque fois des voix différentes, des interprétations variées . Là j'ai vu un bel acteur appliqué à qui on donnait la mention " Bien " parce que ce n'était pas si mal et qu'il était plein de bonne volonté... tiens, encore comme à l'école !
En conclusion, de tels spectacles ne peuvent que nous faire aimer nos petites troupes d'amateurs qui n'ont pas à rougir de la comparaison. Au cours de la représentation , je me suis même mise à rêver d'un acteur des Mutins ou d'une actrice de Vice-Versa disant tel ou tel texte .
Méchante la dame que je suis , je le sais et j'en ai de la peine. En fait, je n'aurais pas dû y aller avec mon costume de prof... " pour qui tu te prends ? " m'a dit un jour une amie qui n'est plus mon amie ... pour un prof, hélas sans doute, mais comment m'en débarrasser?
... Bref, je vous ai bien aimé, MONSIEUR Pierre Richard
et je compte me procurer le bouquin d'où a été tiré ce spectacle poétique car la critique en dit le plus grand bien.
Sourires...
au fait : " Les sourires que vous faites rayonner chez les autres arrondiront vos fins de moi… " (Folisophie) de Joseph Noce et toile de Gaëlle Boissonnard.
Bon dimanche !
Canoë/kayak, les Mondiaux à PAU .... le livre , le chapitre " HERITAGE "
- Retour sur le livre retraçant les derniers Championnats du monde de Canoë-Kayak à Pau.
Du 23 septembre au 1er octobre 2017 le stade d'Eaux Vives a accueilli cet événement dans les disciplines Slalom, Descente-Sprint et Slalom-Extrême.
60 nations y représentaient les 5 continents, 491 athlètes ont produit un super spectacle sportif et 50.000 spectateurs ont répondu à l'appel... même les jours de pluie !
De grands émotions partagées dès la cérémonie d'ouverture et des épreuves , des grands champions , ont fédéré les esprits autour d'une véritable fête populaire .
" Des moments intenses et forts, qui s'inscrivent dans la longue tradition d'une Fédération, d'un Club et d'un territoire, et qui laisseront un héritage durable pour Pau et le canoë-kayak " .
Voici quelques photos du bouquin, surtout la partie " Héritage " rappelant la création de la section CUP par noël AUDRAND .
*** petit détail : dés que j'ai été à la retraite, j'ai passé plusieurs mois à numériser les photos que papa avait engrangées, un nombre inimaginable, et ce sont elles que vous retrouverez dans ce livre.
Enfin, un conseil ...lisez les quelques petits commentaires que j'ai mis sous les photos et ... procurez-vous le livre édité par la FFCK .! 
Quelques belles heures du CUP , en haut à droite la base du Pont d'Espagne à Pau, actuellement en reconstruction... et Dany et Noël en compète en C2 . Plus de ans après, je trouve que j'ai la même tête, non ? ... hu hu!
En bas à droite avec le chapeau, le fidèle " Tonton Montero " toujours sur le pont pour régler tous les problèmes techniques...et en haut, papa et moi dans le bouillon... c'était au " trou du facteur" sur le Larreau.
En haut à gauche, Henri Estanguet, le papa de Tony, déjà en son temps vice-champion du monde.
Ici Noël Audrand aux JO de MUNICH où il était Juge Expert International sur les épreuves de slalom . A noter qu'il a deux sur ce poste prestigieux et important au monde . Cette année là il avait un expert allemand comme collègue. A noter aussi que maman, Edmée, était juge de portes sur ces JO .
Et enfin, le groupe des nombreux bénévoles qui ont pris une grande part dans l'excellence de cet événement.
vendredi 2 mars 2018
le livre sur les MONDIAUX de CANOË-KAYAK à Pau en septembre 2018 est sorti !
Oui, j'en suis ravie , car non seulement j'ai eu mon volume de ces " MONDIAUX de CANOË-KAYAK à PAU " , mais il m'a été offert , avec en supplément la clef USB des photos de ces championnats !
Le bonheur en le feuilletant de découvrir le chapitre " HERITAGE " qui retrace les origines de ce sport sur Pau, et qui consacre pas moins de 4 pages au créateur du CUP : Noël AUDRAND, mon père . Il y est plusieurs fois en photo, dont une aux JO de Munich où il était Juge-Arbitre-International.
Je suis heureuse que ce chapitre existe là, car cette reconnaissance lui était dûe.
J'esquisse un sourire en me revoyant à deux reprises en C2 avec lui alors je devais avoir 16 ans et je remercie Francis Cohort, le plus ancien membre du CUP , qui relate cette " longue histoire chargée de souvenirs ".
En prime , face à l'entrée du stade, sur un mur gris, NACRE est revenue mettre sa patte artistique ...et on l'aime bien.
PS : si vous avez aimé cet événement ou si vous êtes un ancien athlète du CUP , procurez-vous ce bouquin .
Le bonheur en le feuilletant de découvrir le chapitre " HERITAGE " qui retrace les origines de ce sport sur Pau, et qui consacre pas moins de 4 pages au créateur du CUP : Noël AUDRAND, mon père . Il y est plusieurs fois en photo, dont une aux JO de Munich où il était Juge-Arbitre-International.
Je suis heureuse que ce chapitre existe là, car cette reconnaissance lui était dûe.
J'esquisse un sourire en me revoyant à deux reprises en C2 avec lui alors je devais avoir 16 ans et je remercie Francis Cohort, le plus ancien membre du CUP , qui relate cette " longue histoire chargée de souvenirs ".
En prime , face à l'entrée du stade, sur un mur gris, NACRE est revenue mettre sa patte artistique ...et on l'aime bien.
PS : si vous avez aimé cet événement ou si vous êtes un ancien athlète du CUP , procurez-vous ce bouquin .
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