Comment ne pas être saisi et sensible! à cette œuvre magnifique! Elle reflète " le rêve" à l'état pur; une concrétisation de ce qui nous anime, inanimés, et si difficile à exprimer au réveil. C'est la magie de l'art, de la peinture en particulier; pour plaquer ainsi une image sur nos rêves. Ces rêves s'imposent à nous,,.rêves fous que l'on croit insensés .. maïs ce sont nos rêves...ils habitent nos nuits.
... pour certains, ce sont ces papillons qui par leur battements d'aile changent la face du Monde,.. ...peut-être...il est doux de rêver ... ... plus subtilement, ils rafraichissent la vie de ceux qui rêvent avec eux et qui se délectent de leur vol erratique, plein d'espoir , imprévisible, pour peu qu'ils se posent un jour... sur un caillou du Gave...cher à ton cœur. ... de cela,.j'en suis sur ..
oh oh ! je sens de l'intime ...alors je préfère me taire. au départ, c'était pour nous parler de votre présence au salon du livre d'Orthez.... si je ne suis pas de permanence, je m'échappe et je viens. mes mille bises, claudia
Comment ne pas être saisi et sensible! à cette œuvre magnifique!
RépondreSupprimerElle reflète " le rêve" à l'état pur; une concrétisation de ce qui nous anime, inanimés, et si difficile à exprimer au réveil.
C'est la magie de l'art, de la peinture en particulier; pour plaquer ainsi une image sur nos rêves.
Ces rêves s'imposent à nous,,.rêves fous que l'on croit insensés .. maïs ce sont nos rêves...ils habitent nos nuits.
... pour certains, ce sont ces papillons qui par leur battements d'aile changent la face du Monde,..
...peut-être...il est doux de rêver ...
... plus subtilement, ils rafraichissent la vie de ceux qui rêvent avec eux et qui se délectent de leur vol erratique,
plein d'espoir , imprévisible, pour peu qu'ils se posent un jour... sur un caillou du Gave...cher à ton cœur.
... de cela,.j'en suis sur ..
....et pourtant le doute peut s'installer...
"Vade retro Satanas" ,
vade retro ??? mais quelle tentation n'as-tu pas su éviter ?
Supprimermoi, je rêve toujours aux galets bien polis du gave, ceux qui ne blessent pas ...
oh oh ! je sens de l'intime ...alors je préfère me taire.
RépondreSupprimerau départ, c'était pour nous parler de votre présence au salon du livre d'Orthez.... si je ne suis pas de permanence, je m'échappe et je viens.
mes mille bises, claudia